




Georges Dumas : « ... il s'agit d'une construction plasticienne qui fait douter le regard, qui pose la question de la nature de l'image qui est offerte aux yeux des spectateurs. Quelle part de l'œuvre a été captée par objectif, quelle part recréée par le travail logiciel, quelle part apportée par l’acrylique ?
Calques, couches, empilements : l'image est une superposition qui se révèle derrière de multiples écrans malgré sa lisibilité apparemment extrême. L'étoffe ou la peau n'apparaissent jamais à nu, elles sont toujours couvertes par une matière qui fait autant écran que corps avec elles...»
Georges Dumas : « ... il s'agit d'une construction plasticienne qui fait douter le regard, qui pose la question de la nature de l'image qui est offerte aux yeux des spectateurs. Quelle part de l'œuvre a été captée par objectif, quelle part recréée par le travail logiciel, quelle part apportée par l’acrylique ?
Calques, couches, empilements : l'image est une superposition qui se révèle derrière de multiples écrans malgré sa lisibilité apparemment extrême. L'étoffe ou la peau n'apparaissent jamais à nu, elles sont toujours couvertes par une matière qui fait autant écran que corps avec elles...»
 
Louis Doucet : « ... ni photographie ni peinture, ni sculpture ni architecture, mais un peu de tout ceci cependant. On y discerne aussi un travail de déconstruction et de reconstruction qui interpelle le spectateur et le force à s’interroger sur le statut de l’image, sur son unicité, sur sa rareté, sur l’authenticité de son témoignage… «
Georges Dumas : « ... il s'agit d'une construction plasticienne qui fait douter le regard, qui pose la question de la nature de l'image qui est offerte aux yeux des spectateurs. Quelle part de l'œuvre a été captée par objectif, quelle part recréée par le travail logiciel, quelle part apportée par l’acrylique ?
Calques, couches, empilements : l'image est une superposition qui se révèle derrière de multiples écrans malgré sa lisibilité apparemment extrême. L'étoffe ou la peau n'apparaissent jamais à nu, elles sont toujours couvertes par une matière qui fait autant écran que corps avec elles...»
 
Louis Doucet : « ... ni photographie ni peinture, ni sculpture ni architecture, mais un peu de tout ceci cependant. On y discerne aussi un travail de déconstruction et de reconstruction qui interpelle le spectateur et le force à s’interroger sur le statut de l’image, sur son unicité, sur sa rareté, sur l’authenticité de son témoignage… «
Hélène Virion mène depuis une dizaine d’années une recherche pratique et théorique en photographie. Grâce aux potentialités ouvertes par la manipulation numérique, elle questionne le suspens photographique et tente d’y incérer un trouble.../...
Photographe plasticienne et chercheur en Arts dans l’équipe Art & Sciences de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Hélène Virion mène depuis une dizaine d’années une recherche pratique et théorique en photographie. Grâce aux potentialités ouvertes par la manipulation numérique, elle questionne le suspens photographique et tente d’y incérer un trouble.
Après avoir pendant des années élaboré méticuleusement des univers prêts à basculer, des images où il va se passer quelque chose, elle réalise actuellement des mondes baignés d’incertitude. Pour cela elle compose numériquement des non-lieux où l’instant fugitif de la prise de vue laisse place à un moment flottant, à un fragment d’univers qui accroche le regard, mais ne se dévoile jamais vraiment.
Photographe plasticienne et chercheur en Arts dans l’équipe Art & Sciences de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Hélène Virion mène depuis une dizaine d’années une recherche pratique et théorique en photographie. Grâce aux potentialités ouvertes par la manipulation numérique, elle questionne le suspens photographique et tente d’y incérer un trouble.
Après avoir pendant des années élaboré méticuleusement des univers prêts à basculer, des images où il va se passer quelque chose, elle réalise actuellement des mondes baignés d’incertitude. Pour cela elle compose numériquement des non-lieux où l’instant fugitif de la prise de vue laisse place à un moment flottant, à un fragment d’univers qui accroche le regard, mais ne se dévoile jamais vraiment.
Ces images ont l’épaisseur plate d’une photo mais la profondeur infinie d’une âme. Cette âme, Julien l’offre comme une fenêtre sur ses émotions. Morts ou vivants, tout est respecté.
« Plonge avec moi et vis de l’autre côté » nous murmurent les photos.
Ces images ont l’épaisseur plate d’une photo mais la profondeur infinie d’une âme. Cette âme, Julien l’offre comme une fenêtre sur ses émotions. Morts ou vivants, tout est respecté.
« Plonge avec moi et vis de l’autre côté » nous murmurent les photos.
Ces images ont l’épaisseur plate d’une photo mais la profondeur infinie d’une âme. Cette âme, Julien l’offre comme une fenêtre sur ses émotions. Morts ou vivants, tout est respecté. Et puis… finalement tout est vivant à partir du moment où il est aimé. C’est un peu les fantômes qui habitent notre photographe. Faire jaillir le passé au présent tout en respectant le temps, les lieux, les êtres. Un monde ou l’amateur n’existe pas, et où l’âme-actrice nous envoute.
« Plonge avec moi et vis de l’autre côté » nous murmurent les photos.
"Passionné de vidéo, de photographie et d'aventure depuis mon plus jeune âge, je suis aujourd'hui un pilote de drone certifié à la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) et spécialisé dans la prise de vue drone sur de multiples projets.
"Passionné de vidéo, de photographie et d'aventure depuis mon plus jeune âge, je suis aujourd'hui un pilote de drone certifié à la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) et spécialisé dans la prise de vue drone sur de multiples projets.
En parallèle de mon activité, je voyage dans le monde à la conquête de plans vidéo esthétiques : de l'Islande à l'Australie, en passant par le Brésil, Dubaï, ou encore Hong Kong ce sont près d'une vingtaine de pays que j'ai exploré."
"Passionné de vidéo, de photographie et d'aventure depuis mon plus jeune âge, je suis aujourd'hui un pilote de drone certifié à la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) et spécialisé dans la prise de vue drone sur de multiples projets.
En parallèle de mon activité, je voyage dans le monde à la conquête de plans vidéo esthétiques : de l'Islande à l'Australie, en passant par le Brésil, Dubaï, ou encore Hong Kong ce sont près d'une vingtaine de pays que j'ai exploré."
La Vision du Lézard
Je suis Asfeldois de naissance, Asfeld, un p’tit village des Ardennes françaises, là où j’ai grandi, là où j’ai aimé, où j’ai souri et parfois pleuré…
Aujourd’hui Rémois, depuis quelques années déjà, les contours de mon univers se dessinent encore et toujours au fil du temps, des rencontres et des épreuves qui surgissent…
…/...
Je suis Vincent DANNEAUX, je suis La Vision Du Lézard…
Suivez-moi, Suivez l’inconnu…
Je suis Asfeldois de naissance, Asfeld, un p’tit village des Ardennes françaises, là où j’ai grandi, là où j’ai aimé, où j’ai souri et parfois pleuré…
Endroit propice à laisser divaguer mon imagination, la développer et imprimer quelques instants, moments de ma vie…
Aujourd’hui Rémois, depuis quelques années déjà, les contours de mon univers se dessinent encore et toujours au fil du temps, des rencontres et des épreuves qui surgissent…
Mes images sont le fruit de sentiments, d’émotions, blanches ou noires, certaines en surface, d’autres émergentes du plus profond… Évidentes pour les unes, inavouables un temps pour d’autres, j’aime le noir, un trait de ma personnalité, mais aussi les couleurs quand la lumière s’y prête et que s’estompent mes peurs…/...
Je suis Vincent DANNEAUX, je suis La Vision Du Lézard…
Suivez-moi, Suivez l’inconnu…
Je suis Asfeldois de naissance, Asfeld, un p’tit village des Ardennes françaises, là où j’ai grandi, là où j’ai aimé, où j’ai souri et parfois pleuré…
Endroit propice à laisser divaguer mon imagination, la développer et imprimer quelques instants, moments de ma vie…
Aujourd’hui Rémois, depuis quelques années déjà, les contours de mon univers se dessinent encore et toujours au fil du temps, des rencontres et des épreuves qui surgissent
Mes images sont le fruit de sentiments, d’émotions, blanches ou noires, certaines en surface, d’autres émergentes du plus profond… Évidentes pour les unes, inavouables un temps pour d’autres, j’aime le noir, un trait de ma personnalité, mais aussi les couleurs quand la lumière s’y prête et que s’estompent mes peurs…/...
Je suis Vincent DANNEAUX, je suis La Vision Du Lézard…
Suivez-moi, Suivez l’inconnu…