Autodidacte, né en 1967 en Bretagne.
"Je cherche à développer une autre apparence du métal, moins géométrique, plus dans la transparence et la légèreté.
Tout d'abord par le papier qui me permet de donner un côté plus aérien à mes pièces et ensuite par l'acier en minimisant la matière tout en conservant les volumes et donnant à la puissance sauvage autant de poids que de fragilité."
Autodidacte, né en 1967 en Bretagne.
"Je cherche à développer une autre apparence du métal, moins géométrique, plus dans la transparence et la légèreté.
Tout d'abord par le papier qui me permet de donner un côté plus aérien à mes pièces et ensuite par l'acier en minimisant la matière tout en conservant les volumes et donnant à la puissance sauvage autant de poids que de fragilité."
Autodidacte, né en 1967 en Bretagne.
"Je cherche à développer une autre apparence du métal, moins géométrique, plus dans la transparence et la légèreté.
Tout d'abord par le papier qui me permet de donner un côté plus aérien à mes pièces et ensuite par l'acier en minimisant la matière tout en conservant les volumes et donnant à la puissance sauvage autant de poids que de fragilité."
"Je suis sculpteur. Sculpteur sur ciment. Ça n’a peut-être pas l’air, mais la technique est redoutable. Il n’y a pas d’art sans technique. Je la travaille depuis plus de trente ans.
Par excellence, le ciment est un matériau brut et lourd, une poussière inerte et asphyxiante.
Et je l’aime justement pour cela.../..."
"Je suis sculpteur. Sculpteur sur ciment. Ça n’a peut-être pas l’air, mais la technique est redoutable. Il n’y a pas d’art sans technique. Je la travaille depuis plus de trente ans.
Par excellence, le ciment est un matériau brut et lourd, une poussière inerte et asphyxiante.
Et je l’aime justement pour cela. Pour relever l’improbable défi : Pour faire en sorte que l’inertie devienne mouvement et la lourdeur légèreté. Comme si un souffle d’air ou peut-être le tourbillon envoûtant de la création soufflait la fine poussière grise pour en faire matière et relief.
Mes personnages sont de taille humaine. Ils vivent à l’air libre dans les parcs et les jardins, lorsque l’art faussement plastique rencontre l’art floral.
Ils ont parfois l’air absent ou bien l’air songeur ou encore l’air amusé. Ils ont tous un air de famille. Ils sont dans leur monde. Ils l’ont appelé « Le petit monde de Claire Boris »."
"Je suis sculpteur. Sculpteur sur ciment. Ça n’a peut-être pas l’air, mais la technique est redoutable. Il n’y a pas d’art sans technique. Je la travaille depuis plus de trente ans.
Par excellence, le ciment est un matériau brut et lourd, une poussière inerte et asphyxiante.
Et je l’aime justement pour cela. Pour relever l’improbable défi : Pour faire en sorte que l’inertie devienne mouvement et la lourdeur légèreté. Comme si un souffle d’air ou peut-être le tourbillon envoûtant de la création soufflait la fine poussière grise pour en faire matière et relief.
Mes personnages sont de taille humaine. Ils vivent à l’air libre dans les parcs et les jardins, lorsque l’art faussement plastique rencontre l’art floral.
Ils ont parfois l’air absent ou bien l’air songeur ou encore l’air amusé. Ils ont tous un air de famille. Ils sont dans leur monde. Ils l’ont appelé « Le petit monde de Claire Boris »."
La Sculpture Modulable est une sculpture que le spectateur peut toucher, modifier et déstructurer en réorganisant les divers éléments qui la composent. J’ai écrit une partition, un thème, le spectateur l’accepte ou l’interprète à sa guise, mais toujours son geste procure à la sculpture une variation de l’espace. La sculpture occupe alors un espace plus grand que la matière qui la compose.
La Sculpture Modulable est une sculpture que le spectateur peut toucher, modifier et déstructurer en réorganisant les divers éléments qui la composent. J’ai écrit une partition, un thème, le spectateur l’accepte ou l’interprète à sa guise, mais toujours son geste procure à la sculpture une variation de l’espace. La sculpture occupe alors un espace plus grand que la matière qui la compose.
Chacun peut moduler mes sculptures. Mais qu’on ne s’y trompe pas : s’il y a un côté ludique à les manipuler, il s’agit avant tout d’avoir un geste responsable, ou mieux, un projet, qui permettra une autre vision, une autre appréhension de l’espace. La sculpture modulée est toujours composée de la même matière, des mêmes éléments, seule a changé la vision que l’on a d’elle. Elle est devenue « ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre ». Le spectateur s’implique dans l’œuvre puisqu’il peut donner à voir sa propre vision, sa propre modification aux autres. Il ne s’agit plus d’être passif devant une œuvre, mais actif et responsable de son intervention.
La Sculpture Modulable est une sculpture que le spectateur peut toucher, modifier et déstructurer en réorganisant les divers éléments qui la composent. J’ai écrit une partition, un thème, le spectateur l’accepte ou l’interprète à sa guise, mais toujours son geste procure à la sculpture une variation de l’espace. La sculpture occupe alors un espace plus grand que la matière qui la compose.
Chacun peut moduler mes sculptures. Mais qu’on ne s’y trompe pas : s’il y a un côté ludique à les manipuler, il s’agit avant tout d’avoir un geste responsable, ou mieux, un projet, qui permettra une autre vision, une autre appréhension de l’espace. La sculpture modulée est toujours composée de la même matière, des mêmes éléments, seule a changé la vision que l’on a d’elle. Elle est devenue « ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre ». Le spectateur s’implique dans l’œuvre puisqu’il peut donner à voir sa propre vision, sa propre modification aux autres. Il ne s’agit plus d’être passif devant une œuvre, mais actif et responsable de son intervention.
"Ingénieur en matériaux de formation et après quelques années dans l’industrie automobile, voilà 15 ans que je suis devenu sculpteur plasticien. Plutôt que de travailler une seule matière avec ses techniques et tout une panoplie de thèmes et de sujets, j’ai fait le choix inverse : réaliser des œuvres dans toutes sortes de matériaux avec une statuaire contemporaine dont l’effet esthétique reste valable aussi bien en petit qu’en très grand format, ma première sculpture monumentale de 3,5 mètres pour l’espace public en fera bientôt la preuve ; mon sujet de prédilection : la relation, le lien, l’Amour."
de ses courbes lisses. L’artiste déforme, étire, liquéfie le métal malgré sa dureté défiant toute épreuve. Le travail de la pâte de verre nous plonge dans les profondeurs de son âme. Il exprime les détails les plus intimes de ses pensées et de son imagination de façon figurative, épurée ou abstraite pour finalement fusionner avec la matière.
"Ingénieur en matériaux de formation et après quelques années dans l’industrie automobile, voilà 15 ans que je suis devenu sculpteur plasticien. Plutôt que de travailler une seule matière avec ses techniques et tout une panoplie de thèmes et de sujets, j’ai fait le choix inverse : réaliser des œuvres dans toutes sortes de matériaux avec une statuaire contemporaine dont l’effet esthétique reste valable aussi bien en petit qu’en très grand format, ma première sculpture monumentale de 3,5 mètres pour l’espace public en fera bientôt la preuve ; mon sujet de prédilection : la relation, le lien, l’Amour."
de ses courbes lisses. L’artiste déforme, étire, liquéfie le métal malgré sa dureté défiant toute épreuve. Le travail de la pâte de verre nous plonge dans les profondeurs de son âme. Il exprime les détails les plus intimes de ses pensées et de son imagination de façon figurative, épurée ou abstraite pour finalement fusionner avec la matière.
"Ingénieur en matériaux de formation et après quelques années dans l’industrie automobile, voilà 15 ans que je suis devenu sculpteur plasticien. Plutôt que de travailler une seule matière avec ses techniques et tout une panoplie de thèmes et de sujets, j’ai fait le choix inverse : réaliser des œuvres dans toutes sortes de matériaux avec une statuaire contemporaine dont l’effet esthétique reste valable aussi bien en petit qu’en très grand format, ma première sculpture monumentale de 3,5 mètres pour l’espace public en fera bientôt la preuve ; mon sujet de prédilection : la relation, le lien, l’Amour."
"Travaillant divers matériaux comme la terre, le plâtre, le bronze ou l’acier en premier lieu, le verre m’a attrapée depuis 2004 et je ne l’ai plus lâché.
En même temps, ce matériau a signifié la fin d’une approche figurative : les notions présentes depuis le début d’interdépendance, de dualité, de complémentarité, d’ambivalence se traduisent de façon plus symbolique, voire abstraite, notamment par l’utilisation conjointe du verre et du métal .../..."
"Travaillant divers matériaux comme la terre, le plâtre, le bronze ou l’acier en premier lieu, le verre m’a attrapée depuis 2004 et je ne l’ai plus lâché.
En même temps, ce matériau a signifié la fin d’une approche figurative : les notions présentes depuis le début d’interdépendance, de dualité, de complémentarité, d’ambivalence se traduisent de façon plus symbolique, voire abstraite, notamment par l’utilisation conjointe du verre et du métal. Le verre est captivant pour un sculpteur car il permet de travailler l’intérieur du volume en faisant jouer à la lumière un rôle encore plus fondamental. C’est un médium ambivalent, un liquide/ solide, un présent/absent, un fragile/solide, un intérieur/extérieur. Je travaille la pâte de verre selon la technique de la cire perdue et depuis plus récemment, de la pâte de verre fine au sable dont l’aspect est plus troublant."
"Travaillant divers matériaux comme la terre, le plâtre, le bronze ou l’acier en premier lieu, le verre m’a attrapée depuis 2004 et je ne l’ai plus lâché.
En même temps, ce matériau a signifié la fin d’une approche figurative : les notions présentes depuis le début d’interdépendance, de dualité, de complémentarité, d’ambivalence se traduisent de façon plus symbolique, voire abstraite, notamment par l’utilisation conjointe du verre et du métal. Le verre est captivant pour un sculpteur car il permet de travailler l’intérieur du volume en faisant jouer à la lumière un rôle encore plus fondamental. C’est un médium ambivalent, un liquide/ solide, un présent/absent, un fragile/solide, un intérieur/extérieur. Je travaille la pâte de verre selon la technique de la cire perdue et depuis plus récemment, de la pâte de verre fine au sable dont l’aspect est plus troublant."
Dessinateur, sculpteur & céramiste à Buoux, près d'Apt dans le Lubéron, France.
René Ben-Lisa disait : "La charge poétique d’une pièce est la résultante de ce que l’on a en soi." Cette phrase fait écho à l'œuvre sculpturale et singulière de Christiane Filliatreau.
Dessinateur, sculpteur & céramiste à Buoux, près d'Apt dans le Lubéron, France.
René Ben-Lisa disait : "La charge poétique d’une pièce est la résultante de ce que l’on a en soi." Cette phrase fait écho à l'œuvre sculpturale et singulière de Christiane Filliatreau.
Dessinateur, sculpteur & céramiste à Buoux, près d'Apt dans le Lubéron, France.
René Ben-Lisa disait : "La charge poétique d’une pièce est la résultante de ce que l’on a en soi." Cette phrase fait écho à l'œuvre sculpturale et singulière de Christiane Filliatreau.
"La danse contemporaine est un support magnifique pour capter les mouvements et les attitudes complexes, souvent torturés, des danseurs poussés aux limites de leurs possibilités physiques.
Les sentiments et les émotions ressortent puissamment, exprimés en un geste qu’un sculpteur ne peut que rêver de figer dans le grès.
Le matériau lui-même, avant cuisson, est aussi instable que toutes ces poses. Le déséquilibre et l’instantanéité permettent de donner vie à la terre.
Je ne conçois pas, je me laisse séduire par le réel, par des instants de grâce, de force ou de beauté."
"La danse contemporaine est un support magnifique pour capter les mouvements et les attitudes complexes, souvent torturés, des danseurs poussés aux limites de leurs possibilités physiques.
Les sentiments et les émotions ressortent puissamment, exprimés en un geste qu’un sculpteur ne peut que rêver de figer dans le grès.
Le matériau lui-même, avant cuisson, est aussi instable que toutes ces poses. Le déséquilibre et l’instantanéité permettent de donner vie à la terre.
Je ne conçois pas, je me laisse séduire par le réel, par des instants de grâce, de force ou de beauté."
"La danse contemporaine est un support magnifique pour capter les mouvements et les attitudes complexes, souvent torturés, des danseurs poussés aux limites de leurs possibilités physiques.
Les sentiments et les émotions ressortent puissamment, exprimés en un geste qu’un sculpteur ne peut que rêver de figer dans le grès.
Le matériau lui-même, avant cuisson, est aussi instable que toutes ces poses. Le déséquilibre et l’instantanéité permettent de donner vie à la terre.
Je ne conçois pas, je me laisse séduire par le réel, par des instants de grâce, de force ou de beauté."
Sculpteur métal, Michel LAURENT (Alias MichL) invite au rêve avec un enthousiasme sous-jacent.
Il fait se côtoyer le plein et le vide, le massif et la dentelle, comme d'autres jouent avec l'ombre et la lumière.../...
Sculpteur métal, Michel LAURENT (Alias MichL) invite au rêve avec un enthousiasme sous-jacent.
Il fait se côtoyer le plein et le vide, le massif et la dentelle, comme d'autres jouent avec l'ombre et la lumière.
Ses œuvres, parfois surprenantes, sont autant de bouteilles lancées à la mer, avec chacune un petit message...
Michel découpe, soude, plie, meule, invente, innove et se consacre aussi à la réalisation d'installations et de sculptures monumentales (commandes publiques et privées).
Sculpteur métal, Michel LAURENT (Alias MichL) invite au rêve avec un enthousiasme sous-jacent.
Il fait se côtoyer le plein et le vide, le massif et la dentelle, comme d'autres jouent avec l'ombre et la lumière.
Ses œuvres, parfois surprenantes, sont autant de bouteilles lancées à la mer, avec chacune un petit message...
Michel découpe, soude, plie, meule, invente, innove et se consacre aussi à la réalisation d'installations et de sculptures monumentales (commandes publiques et privées).
L’art est la seule chose sérieuse au monde. Et l’artiste est la seule personne qui n’est jamais sérieuse !
Oscar Wilde
L’art est la seule chose sérieuse au monde. Et l’artiste est la seule personne qui n’est jamais sérieuse !
Oscar Wilde
L’art est la seule chose sérieuse au monde. Et l’artiste est la seule personne qui n’est jamais sérieuse !
Oscar Wilde
L'atelier de Dominique Mercier se situe au coeur des hortillonnages, à Camon, près d'Amiens dans la Somme, pays où l'eau et la terre se mélangent intimement.
L'eau, c'est aussi la mer, la mer qui rentre dans la terre, y fait son chemin, creuse, érode, s'infiltre, comme en Baie de Somme et en Baie d'Authie où elle a rêvé enfant et où elle trouve souvent l'inspiration. Elle essaie de restituer ces couleurs toujours changeantes, empreintes d'humidité, de terre et de lumière sourde.
Le RAKU et l'ENFUMAGE à la sciure lui permettent de retrouver ces matières brutes, craquelées jusqu'à devenir extrêmement lisses.
L'atelier de Dominique Mercier se situe au coeur des hortillonnages, à Camon, près d'Amiens dans la Somme, pays où l'eau et la terre se mélangent intimement.
L'eau, c'est aussi la mer, la mer qui rentre dans la terre, y fait son chemin, creuse, érode, s'infiltre, comme en Baie de Somme et en Baie d'Authie où elle a rêvé enfant et où elle trouve souvent l'inspiration. Elle essaie de restituer ces couleurs toujours changeantes, empreintes d'humidité, de terre et de lumière sourde.
Des courbes du sable et de l'eau, des animaux marins et des roches, naissent de grandes coques engobées, lisses et enfumées. Les galets doux se fendent, les roches creuses s'agglutinent et se plissent : coquilles vides travaillées par l'eau en mouvement, traces de vie toujours renouvelées.
La peau aussi est omniprésente dans des animaux aux poils et carapaces protecteurs, dans des femmes aux tissus de terre et des hommes en foule qui émergent et se serrent pour former un seul bloc.
Le RAKU et l'ENFUMAGE à la sciure lui permettent de retrouver ces matières brutes, craquelées jusqu'à devenir extrêmement lisses.
L'atelier de Dominique Mercier se situe au coeur des hortillonnages, à Camon, près d'Amiens dans la Somme, pays où l'eau et la terre se mélangent intimement.
L'eau, c'est aussi la mer, la mer qui rentre dans la terre, y fait son chemin, creuse, érode, s'infiltre, comme en Baie de Somme et en Baie d'Authie où elle a rêvé enfant et où elle trouve souvent l'inspiration. Elle essaie de restituer ces couleurs toujours changeantes, empreintes d'humidité, de terre et de lumière sourde.
Des courbes du sable et de l'eau, des animaux marins et des roches, naissent de grandes coques engobées, lisses et enfumées. Les galets doux se fendent, les roches creuses s'agglutinent et se plissent : coquilles vides travaillées par l'eau en mouvement, traces de vie toujours renouvelées.
La peau aussi est omniprésente dans des animaux aux poils et carapaces protecteurs, dans des femmes aux tissus de terre et des hommes en foule qui émergent et se serrent pour former un seul bloc.
Le RAKU et l'ENFUMAGE à la sciure lui permettent de retrouver ces matières brutes, craquelées jusqu'à devenir extrêmement lisses.
La sculpture et la musique ont fait irruption dans la vie de Jean-Michel RIBEYROLLES il y a longtemps. Les deux s’accordent et se répondent en parfaite complicité. Quand le sculpteur expose ses œuvres, il arrive que le musicien improvise quelques notes à l’accordéon ou au violon.
« Musique et sculpture c’est pour moi la même chose, la liberté d’improvisation, la créativité à l’état pur » .../...
La sculpture et la musique ont fait irruption dans la vie de Jean-Michel RIBEYROLLES il y a longtemps. Les deux s’accordent et se répondent en parfaite complicité. Quand le sculpteur expose ses œuvres, il arrive que le musicien improvise quelques notes à l’accordéon ou au violon.
« Musique et sculpture c’est pour moi la même chose, la liberté d’improvisation, la créativité à l’état pur »
L’univers de JmiR est profondément inspiré par le monde néolithique, les représentations grand format des premières traces de l’homme, les dolmens, les statues menhirs ou les imposants cairns. Qui sont ces bâtisseurs, avec quelles techniques et connaissances ont-ils pu créer ces formes ? C’est tout le champ libre laissé par le silence à ces questions qui est source d’inspiration, de dialogue, de recherches .../...
La sculpture et la musique ont fait irruption dans la vie de Jean-Michel RIBEYROLLES il y a longtemps. Les deux s’accordent et se répondent en parfaite complicité. Quand le sculpteur expose ses œuvres, il arrive que le musicien improvise quelques notes à l’accordéon ou au violon.
« Musique et sculpture c’est pour moi la même chose, la liberté d’improvisation, la créativité à l’état pur »
L’univers de JmiR est profondément inspiré par le monde néolithique, les représentations grand format des premières traces de l’homme, les dolmens, les statues menhirs ou les imposants cairns. Qui sont ces bâtisseurs, avec quelles techniques et connaissances ont-ils pu créer ces formes ? C’est tout le champ libre laissé par le silence à ces questions qui est source d’inspiration, de dialogue, de recherches .../...
Je suis née à Moscou en 1977. Je suis arrivée en Belgique à l'âge de 18 ans pour travailler comme jeune fille au pair, où j'ai ensuite étudié le droit et la gestion. Après 15 ans de carrière dans des entreprises internationales, j'ai décidé de me lancer dans la sculpture, renouant ainsi avec une passion d'enfance .../...
Je suis née à Moscou en 1977. Je suis arrivée en Belgique à l'âge de 18 ans pour travailler comme jeune fille au pair, où j'ai ensuite étudié le droit et la gestion. Après 15 ans de carrière dans des entreprises internationales, j'ai décidé de me lancer dans la sculpture, renouant ainsi avec une passion d'enfance.
On m'a décrite comme une personne pleine d'énergie. C'est cette énergie que j'aimerais insuffler aux œuvres que je réalise. Je suis fascinée par l'idée d'insuffler du mouvement dans une sculpture. C'est un merveilleux défi, en travaillant le bronze, de capturer un mouvement à ce moment d'intensité et de donner une impression de légèreté ! Je souhaite que mes œuvres dansent, sautent et jouent... qu'elles soient vivantes .../...
Je suis née à Moscou en 1977. Je suis arrivée en Belgique à l'âge de 18 ans pour travailler comme jeune fille au pair, où j'ai ensuite étudié le droit et la gestion. Après 15 ans de carrière dans des entreprises internationales, j'ai décidé de me lancer dans la sculpture, renouant ainsi avec une passion d'enfance.
On m'a décrite comme une personne pleine d'énergie. C'est cette énergie que j'aimerais insuffler aux œuvres que je réalise. Je suis fascinée par l'idée d'insuffler du mouvement dans une sculpture. C'est un merveilleux défi, en travaillant le bronze, de capturer un mouvement à ce moment d'intensité et de donner une impression de légèreté ! Je souhaite que mes œuvres dansent, sautent et jouent... qu'elles soient vivantes .../...
"C’est en 2008 après une vingtaine d’années de peinture à l’huile que j’ai commencé le modelage d’abord avec de la terre puis en utilisant divers matériaux plutôt improbables tels que le papier ou le carton. Courbes, rondeurs, légèreté sont les maitres mots qui me définissent pour créer mon univers de personnages tels que golfeurs, danseuses, hommes et femmes pressés sur terre ou dans les airs comme les aviatrices par exemple."
"C’est en 2008 après une vingtaine d’années de peinture à l’huile que j’ai commencé le modelage d’abord avec de la terre puis en utilisant divers matériaux plutôt improbables tels que le papier ou le carton. Courbes, rondeurs, légèreté sont les maitres mots qui me définissent pour créer mon univers de personnages tels que golfeurs, danseuses, hommes et femmes pressés sur terre ou dans les airs comme les aviatrices par exemple. Tout ce qui peut s’apparenter au mouvement m’intéresse. Je participe à diverses expositions de groupe tout au long de l’année et je dispose d’un atelier ou le public est accueilli en toutes occasions."
"C’est en 2008 après une vingtaine d’années de peinture à l’huile que j’ai commencé le modelage d’abord avec de la terre puis en utilisant divers matériaux plutôt improbables tels que le papier ou le carton. Courbes, rondeurs, légèreté sont les maitres mots qui me définissent pour créer mon univers de personnages tels que golfeurs, danseuses, hommes et femmes pressés sur terre ou dans les airs comme les aviatrices par exemple. Tout ce qui peut s’apparenter au mouvement m’intéresse. Je participe à diverses expositions de groupe tout au long de l’année et je dispose d’un atelier ou le public est accueilli en toutes occasions."
JGuillaume Werle, sculpteur figuratif, questionne le rapport de l’être humain au temps, sa présence au monde, son impact sur ce dernier. Il développe un vocabulaire formel fait de pleins qu’il nomme Enveloppes, et de creux, Empreintes. Le vide ainsi que les espaces font aussi partie de son langage plastique. Il compose ou recompose des sculptures en bas-reliefs et en rondes-bosses dans des chorégraphies qui incluent aussi l’immobilité.
À cet effet, il a mis au point des techniques dont chaque étape convoque ses connaissances du modelage de la terre, de la sculpture du plâtre ainsi que la réalisation de moules, le travail de la cire ou des métaux.../...
Guillaume Werle, sculpteur figuratif, questionne le rapport de l’être humain au temps, sa présence au monde, son impact sur ce dernier. Il développe un vocabulaire formel fait de pleins qu’il nomme Enveloppes, et de creux, Empreintes. Le vide ainsi que les espaces font aussi partie de son langage plastique. Il compose ou recompose des sculptures en bas-reliefs et en rondes-bosses dans des chorégraphies qui incluent aussi l’immobilité.
À cet effet, il a mis au point des techniques dont chaque étape convoque ses connaissances du modelage de la terre, de la sculpture du plâtre ainsi que la réalisation de moules, le travail de la cire ou des métaux.
Ses productions récentes sont faites de corps sensuels qu’il modèle dans la terre glaise. Ils sont tant tôt réalisés taille nature dans un jeu de corps à corps avec la matière, tant tôt petits avec une tension vers la monumentalité.../...
Guillaume Werle, sculpteur figuratif, questionne le rapport de l’être humain au temps, sa présence au monde, son impact sur ce dernier. Il développe un vocabulaire formel fait de pleins qu’il nomme Enveloppes, et de creux, Empreintes. Le vide ainsi que les espaces font aussi partie de son langage plastique. Il compose ou recompose des sculptures en bas-reliefs et en rondes-bosses dans des chorégraphies qui incluent aussi l’immobilité.
À cet effet, il a mis au point des techniques dont chaque étape convoque ses connaissances du modelage de la terre, de la sculpture du plâtre ainsi que la réalisation de moules, le travail de la cire ou des métaux.
Ses productions récentes sont faites de corps sensuels qu’il modèle dans la terre glaise. Ils sont tant tôt réalisés taille nature dans un jeu de corps à corps avec la matière, tant tôt petits avec une tension vers la monumentalité.../...
"Graffiti , peinture , sculpture, ici et là-bas."
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